Lorsqu'il s'agit de financer une propriété de vacances, les règles en matière d'hypothèques sont plus strictes que lorsqu'il s'agit de la résidence principale. En effet, en cas de difficultés financières, les propriétaires se décident beaucoup plus rapidement à vendre. De plus, la loi suisse n’autorise pas le retrait de l'épargne des 2e et 3e Pilier pour l'immobilier de vacances. C'est pourquoi les établissements de crédit exigent des fonds propres pouvant aller jusqu'à 50 % en guise d'acompte.